La Viticole de Lutry ouvre un espace d’accueil et de dégustation

03.05.2010 – Avec ses 170m2 au design épuré, sa luminosité ambiante apaisante et son orientation plein sud sur le vieux Lutry, le nouvel espace de la Viticole offre aux vignes de Lavaux un écrin de qualité. Proposant une palette de plus de trente vins ancrés dans les coteaux du site classé à l’UNESCO, il possède pour mission première d’offrir des conditions de dégustation optimale aux curieux comme aux clients réguliers.

« La Viticole de Lutry et son espace d’accueil constituent la nouvelle porte d’entrée dans le vignoble de Lavaux lorsque l’on vient de Lausanne. Nous disposons désormais d’un lieu qui nous permet de recevoir nos clients dans les meilleures conditions, favorisant ainsi l’accès à nos produits », souligne son président, Jean-Charles Estoppey. Cet espace, situé en bordure de la route cantonale dans le bâtiment historique de la Culturaz, est ouvert au public du lundi au vendredi. Permettant d’accueillir une trentaine de personnes, il possède ainsi tous les atouts pour conquérir une clientèle plus large, curieuse et à la recherche de vins de qualité. Grâce à un partenariat avec l’Union vinicole de Cully, la Viticole propose à la dégustation 33 vins issus des meilleurs terroirs de l’AOC Lavaux : dix chasselas, huit spécialités blanches, trois rosés et douze rouges. « Ces vins ont régulièrement été primés lors de concours ou dégustations », précise son gérant, Jean-Michel Gosteli. A cet assortiment, il faut également ajouter une sélection de 18 vins européens proposée par Eurêka Vins dont la typicité, le caractère et l’originalité leur ont valu d’être intégrés à la palette proposée. La Viticole de Lutry est l’une des plus anciennes associations viticoles du canton de Vaud et de surcroît l’une de celles qui vend, en proportion, le plus de vins en vente directe. Près de 75% de sa production sont acquis par les restaurateurs ou les particuliers. « Grâce à ce nouvel espace, nous espérons également et surtout nous faire connaître d’une partie de la population qui ignorait notre existence jusqu’à maintenant ou avait quelque réticence à franchir le seuil d’une cave », précise Jean-Charles Estoppey.

Auteur : agir