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Un bon déjeuner, ça aide toute la journée !
C’est à l’APEMS Béthusy que la presse était conviée, ce matin, par la Ville de Lausanne et Pro Terroir. Accompagné de la vice-présidente de Prométerre, Lorella Pfirter et entouré du chef du Service de l’accueil de jour de l’enfance, Jean-Claude Seiler, et de la responsable du secteur APEMS, Chantal Isenring, le conseiller municipal Oscar Tosato a présenté le projet pilote « APEMS Bon goût ». Celui-ci a pour objectif de promouvoir une alimentation saine, de qualité et de proximité en fournissant aux enfants des petits déjeuners et des goûters confectionnés avec des produits du terroir vaudois.
De la théorie à la pratique !
Ce projet va dans le sens d’un récent préavis lausannois pour une restauration collective durable et il est destiné aux quelque 2'700 enfants accueillis dans les APEMS, principalement de 6 à 12 ans. Selon Oscar Tosato, offrir une alimentation saine qui respecte les principes de nutrition responsable et durable c’est : la garantie de la traçabilité, l’équilibre et la qualité nutritionnelle, la reconnaissance des produits de saison et le soutien à l’économie de proximité privilégiant les circuits courts. Soit concrètement sur le terrain, des déjeuners et des goûters composés de : fruits de saison ou jus de fruits; confitures maison ; divers produits lactés, comme des yoghourts ou du fromage ; des céréales sous la forme de bircher ; du pain complet. Ce qui a tout de même plus d’attrait que du pain blanc et des confitures industrielles… et ne devrait pas coûter plus cher puisque le budget reste à 65 centimes par enfant et par jour.
Une marque de reconnaissance
De son côté, la vice-présidente de Prométerre, Lorella Pfirter, s’est également réjouie de ce partenariat bien en phase avec l’engagement de l’organisation agricole, dont Pro Terroir est une filiale. Elle a précisé que les producteurs collaborant au projet avaient été très intéressés par la démarche et que cette marque de reconnaissance des collectivités publiques envers leur travail avait été appréciée. Aussi, Lorella Pfirter espère que ce projet pilote – qui fera l’objet d’un bilan en juillet prochain – n’est que le début d’une collaboration à long terme avec la production agricole vaudoise.
AGIR
