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Un nouveau « Monsieur terroir vaudois » !
« L’année 2012 a été riche et mouvementée », a souligné Robert Gueissaz dans son rapport présidentiel. En effet, le secrétariat a assuré la mise sur pied de manifestations correspondant à 65 jours de présence sur site, sans compter les centaines d’heures de préparation.
Outre les foires incontournables, la présence des produits du terroir vaudois dans différentes manifestations a également été assurée via le partenariat avec « Art de Vivre, pays de terroirs ». Il s’agit en particulier des Caves ouvertes qui ont drainé quelque 90'000 visiteurs, dont 1000 Suisses alémaniques ayant profité du forfait train et visite des CFF. La mise à disposition des marchandises (verres et sacs à dos) a été organisée à la Halle romande pour que les vignerons puissent y faire leurs courses en fromages, charcuteries et produits de boulangerie pour accompagner les vins proposés dans les quelque 300 caveaux du canton.
Dans le vaste réseau de collaborations mis en place par la fédération, le président a encore voulu souligner les relations privilégiées avec Pays romand – Pays gourmand qui est devenue, au fil des ans, l’organisation faitière de la promotion des produits du terroir. C’est d’ailleurs par son canal que les demandes de fonds sont faites à l’Office fédéral de l’agriculture, dans le cadre du soutien à la promotion des produits.
Confiance et prudence
Côté chiffres, les comptes 2012 bouclent avec un déficit qui s’explique par la multiplicité des activités. Quant au budget, il n’est pour l’instant que provisoire car le bailleur de fonds traditionnel de la fédération, soit le Service vaudois de l’agriculture, n’a pas encore pu donner de chiffres définitifs pour son soutien financier. Une situation certes inconfortable mais qui n’empêche pas le secrétaire général de mettre en place, cette année, toute une série de manifestations, avec confiance mais prudence car le comité tient à avoir des comptes équilibrés en 2013.
Le comité, par la voix de son président, s’est d’ailleurs félicité de l’engagement – dans les deux sens du terme – d’Alexandre Fricker, dont l’entregent et l’enthousiasme donnent des gages sur l’avenir de la promotion des produits du terroir vaudois.
MB/AGIR